Un G20 engagé à éliminer les frontières du commerce mondial pour créer des liens de libre-échange entre tous les pays. En outre, la réunion a confirmé la trêve tant attendue entre le président russe Vladimir Poutine et le président américain Donald Trump, où ils ont convenu d'une trêve dans le sud-ouest de l'Europe.
Ce week-end a eu lieu à Hambourg la réunion du sommet du G20, une réunion dont il était attendu que de nombreuses conclusions bénéfiques seraient tirées pour les pays qui composent ce groupe prestigieux.
En plus d'être le point où Vladimir Poutine et Donald Trump se rencontreraient pour la première fois, les dirigeants de la Russie et des États-Unis qui ont généré tant de conflits et d'incertitudes avec leur relation compliquée.
Beaucoup de choses ont été discutées lors de la réunion et divers accords ont été conclus, profitant de la présence des dirigeants des principaux pays avec les meilleures économies mondiales.
Dans le document final qui comprend les accords qui ont été conclus, il y a des sujets tels que le libre-échange, un accord dans lequel tous les pays ont souligné et ont réorienté leurs positions pour renforcer les liens de libre-échange, ce qui permet aux pays un flux de marchandises et de capitaux sans charges tarifaires qui ralentissent les mouvements transfrontaliers.
D'autres sujets également inclus dans le document sont : la croissance, les inégalités, le marché du travail, le système financier, la transparence, la corruption, l'énergie et le changement climatique, l'accord de Paris, le développement durable, les femmes, la santé, l'Afrique, les migrations, la violence de genre et enfin, les réfugiés.
Un G20 où toutes les questions d'intérêt ont été discutées afin de trouver une issue bénéfique pour tous les pays, mais qui, malheureusement, n'a pas été conçue de cette manière par les habitants de Hambourg, le lieu où s'est tenu le sommet, qui est sorti dans la rue pour manifester avec des actes de vandalisme qui mettent de nombreux citoyens en grave danger. Un vandalisme qui a fait près de 1 000 blessés et plus de 200 arrestations.
Un sommet très engagé et rentable se traduit par une multitude d'accords
La réunion du groupe du G20 a abouti à la conclusion d'une multitude d'accords, parmi lesquels se distingue l'opposition sévère de tous les pays au protectionnisme mondial, favorisant ainsi des accords de libre-échange entre pays ou des accords qui prônent le traitement du changement climatique et le accord.
Ensuite, nous procédons à des commentaires sur les principaux accords qui ont été conclus lors de la réunion, accords qui sont inclus dans le document final de 15 pages.
Libre-échange, le texte reflète une position claire de presque tous les pays pour un accord de libre-échange entre eux. Les pays se sont montrés contre le protectionnisme et il est prévu de créer le libre-échange, tant qu'il existe des instruments de défense commerciale qui protègent les pays des pratiques déloyales.
La croissance, le document souligne que les pays croissent plus et mieux, il a donc été demandé aux pays de poursuivre ces pratiques monétaires, fiscales et structurelles pour la renforcer et, ainsi, continuer à croître.
L'inégalitéTous les pays n'ont pas eu le même traitement et les mêmes avantages en termes de commerce international, cela a été reconnu par le G20 et ils se sont donc engagés à faire ce changement.
Le marché du travail, Des problèmes tels que la mondialisation ou la numérisation sont des faits qui ont conduit de nombreux travailleurs à prendre du retard et à perdre leur emploi. Le G20 a mis l'accent sur le renforcement de la formation continue des travailleurs, leur permettant de s'adapter au changement en douceur.
Le système financier, les pays ont prôné la création d'un système financier « moderne et équitable » qui permet aux pays un flux d'informations pour éviter la fraude fiscale.
Transparence, le G20 a mis l'accent sur la transparence entre tous les pays en s'accordant sur des normes internationales de transparence pour lutter contre les principaux problèmes, la corruption, la fraude fiscale, le financement du terrorisme et le blanchiment d'argent.
la corruption, le groupe des principaux dirigeants s'est engagé à lutter contre la corruption et pour cela il a intégré quatre nouvelles aides qui favorisent la transparence dans le secteur public.
Énergie et changement climatique, tous les pays ont convenu que nous devons commencer à utiliser des énergies propres et laisser de côté celles qui polluent l'environnement.
Accord de ParisA l'exception des Etats-Unis, tous les membres du sommet se sont engagés à mettre en œuvre les mesures de l'accord de Paris le plus rapidement possible.
Développement durable, les dirigeants s'engagent à assumer leur responsabilité dans la lutte contre l'extrême pauvreté, l'égalité hommes-femmes ou la création d'emplois.
Femme, le groupe est résolument engagé en faveur de l'égalité hommes-femmes au niveau mondial, un engagement qui combattra la distinction sexuelle et mettra fin aux inégalités qui freinent l'épanouissement des femmes.
Santé, le G20 a proposé de renforcer tous les systèmes de santé dans le monde, en plus d'améliorer les mécanismes de santé en cas de crise sanitaire d'urgence, où le rôle de l'OMS a été souligné.
Afrique, le document comprend l'initiative de créer des emplois de qualité pour les jeunes pour la population africaine, en plus de prôner la lutte contre l'extrême pauvreté et la faim dans les pays africains.
Migration, le G20 soutient la migration des personnes de manière ordonnée, réglementée et sûre, cependant, le droit des pays d'appliquer leurs réglementations à leurs postes frontaliers a été reconnu.
Violence de genre, le document comprend l'engagement total de l'ensemble du groupe à lutter contre les discriminations à l'égard des femmes et à faire cesser immédiatement ces pratiques.
Réfugiés, les dirigeants prônent la lutte contre les mafias qui se consacrent à la traite des êtres humains et réclament une insertion sur le marché du travail dans des conditions d'égalité des immigrés établis dans le pays.
Trump et Poutine mettent de côté leurs différends pour convenir d'une trêve
Peut-être que l'un des moments les plus attendus, à la fois morbide, de cette réunion au sommet à Hambourg, était la rencontre qui allait avoir lieu entre le président des États-Unis, Donald Trump, et le président de la Russie, Vladimir. Poutine.
La réunion tant attendue a eu lieu vendredi et a commencé vers 16h00 heure locale et a duré jusqu'à 18h00 heure locale. Une réunion de plus de deux heures où les deux présidents ont discuté de sujets comme les guerres dans le Sud-Ouest, la Syrie ou d'autres sujets comme le prétendu complot russe, complot démenti par la suite par Rex Tillerson, secrétaire d'État des États-Unis. lors d'une conférence de presse.
Le principal accord de la réunion était la trêve pour le sud-ouest de la Syrie, une trêve qui est entrée en vigueur le dimanche 9 juillet à midi. L'accord souligne l'engagement des deux pays à garantir que toutes les parties impliquées dans le conflit maintiennent et respectent le cessez-le-feu.
Malgré les grandes différences entre les deux pays, Trump avait pour objectif de trouver des moyens communs de travailler avec Poutine sur des questions telles que la guerre en Syrie ou en Ukraine, ou le prétendu complot russe, un complot qui a créé tant de conflits entre les Américains. citoyens.
Enfin, la réunion s'est terminée sans aucune altercation entre les deux présidents, au contraire, des accords très satisfaisants ont été conclus où les deux présidents ont garanti la sécurité des citoyens, russes et américains.
Le libre-échange reste le thème principal
Bien que de nombreuses questions aient été abordées avec leurs accords pertinents entre les pays, le thème principal de cette réunion au sommet à Hambourg était le libre-échange entre tous les pays.
Les dirigeants des principales économies mondiales ont préconisé la création d'accords de libre-échange entre les pays, favorisant la croissance économique et les transactions transfrontalières.
C'est la même Merkel, présidente de l'Allemagne, qui a annoncé lors d'une conférence de presse que si les pays agissaient ensemble, ils pourraient accomplir bien plus que seuls. Pour cette raison, il a demandé aux autres dirigeants de rejoindre la position de libre-échange entre les pays afin de favoriser les exportations et les importations entre eux.
Merkel a également annoncé "Nous avons clairement dit que nous voulons que les marchés restent ouverts, que nous rejetons le protectionnisme et aussi le commerce déloyal" et a souligné le rôle de l'Organisation mondiale du commerce (OMC) dans l'élaboration des "règles mondiales" sur lesquelles ils devraient être transactions basées.
Avant la réunion au sommet, l'Europe avait déjà conclu un accord avec le Japon annonçant un accord entre les deux pays pour un accord de libre-échange qui permettrait la libéralisation de 99% des transactions commerciales réalisées entre les deux pays.
Lors de la réunion au sommet, qui a eu lieu ce week-end, nous avons pu voir les principaux dirigeants très attachés à ces politiques de libre-échange et où l'Europe a été très favorisée.
Dans le document qui rassemble les décisions et les accords conclus par les membres du G20, on peut voir comment les pays prônent un avenir où il n'y a pas de barrières commerciales entre eux et les transactions de charges tarifaires et bureaucratiques qui permettent la croissance des économies sont libérées dans le monde entier. .